21 octobre 2007
élections législatives en Pologne
En Pologne se déroulent aujourd'hui les élections législatives anticipées.
Les principales listes en présence :
- Lewica i Demokraci (LiD) - Gauche et démocrates : coalition de centre-gauche réunissant sociaux-démocrates et sociaux-libéraux; chef de file : Aleksander Kwasniewski (ancien président de la République).
- Polskie Stronnictwo Ludowe (PSL) - Parti paysan polonais : parti agrarien, centriste et eurosceptique.
- Platforma Obywatelska RP (PO) - Plate-forme civique : droite libérale-conservatrice pro-européenne ; principal parti d'opposition dirigé par Donald Tusk.
- Prawo i Sprawiedliwosc (PiS) - Droit et Justice : droite catholique-conservatrice et eurosceptique ; parti au pouvoir avec Lech Kaczyński (président de la République) et Jarosław Kaczyński (premier ministre).
- Liga Polskich Rodzin (LPR) - Ligue des familles polonaises : parti national-catholique, dirigé par Roman Giertych ; a quitté la coalition gouvernementale cet été.
- Samoobrona RP (SO) - Autodéfense de la République de Pologne : parti populiste et agrarien, dirigé par Andrzej Lepper ; a quitté la coalition gouvernementale cet été.
Repères :
Les résultats des précédentes élections en Pologne depuis 1991
Les coalitions gouvernementales en Pologne depuis 1989
Le système constitutionnel polonais
mise à jour : les liberaux-conservateurs remportent les legislatives en Pologne
02:50 | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook | | Imprimer | |
20 octobre 2007
Traité modificatif européen
Après l'accord de Lisbonne, je vous propose une comparaison entre le Traité constitutionnel européen (Constititon européenne) et le Traité modificatif européen.
12:10 | Lien permanent | Commentaires (1) | Facebook | | Imprimer | |
17 octobre 2007
Commission Attali
L'aile sociale-libérale du PS n'a jamais été majoritaire en tant que telle au sein du parti. Que cela ne tienne. Avec Pascal Lamy à la tête de l'Organisation mondiale du commerce (OMC), Dominique Strauss-Kahn à la tête du Fonds monétaire international (FMI), Bernard Kouchner (affaires étrangères), Jean-Pierre Jouyet (affaires européennes) et Jean-Marie Bockel (coopération et francophonie) au gouvernement, ses idées sont au pouvoir. Ne manque quasiment plus à l'appel que Pierre Moscovici...
En confiant à Jacques Attali la présidence de la "commission pour la libération de la croissance française" (sous-entendu : prisonnière du modèle social français issu de la ...Libération), Nicolas Sarkozy a par ailleurs réussi un coup de maître : faire endosser à la gauche libérale la responsabilité de ses réformes les plus libérales !
14:05 | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook | | Imprimer | |
11 octobre 2007
Date des élections municipales et cantonales
La ministre de l'Intérieur, de l'Outre-Mer et des Collectivités territoriales a présenté jeudi un décret fixant la date de renouvellement des conseils municipaux et portant convocation des électeurs. Ce décret prévoit que les élections municipales se dérouleront les dimanches 9 et 16 mars 2008. Elles se tiendront le même jour que les élections cantonales dans les cantons faisant l'objet d’un renouvellement. Le scrutin sera ouvert à 8 heures et clos à 18 heures. Pour faciliter l'exercice du droit de vote, les préfets et hauts commissaires pourront avancer l'heure d'ouverture ou retarder l'heure de fermeture du scrutin dans certaines communes ou circonscriptions administratives.
17:05 | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook | | Imprimer | |
L'honnêteté de Fillon
Cela ne figurait pas dans son discours écrit, mais au moins le premier ministre François Fillon aura-t-il eu, mercredi soir, devant Les Réformateurs (sensibilité la plus libérale de l'UMP), le courage de présenter avec franchise les conséquences de la politique de réformes libérales menée par son gouvernement :
"Je dois le dire devant tous les élus qui sont présents ici : la réforme de l'État, ça supposera que nous soyons courageux; la réforme de l'État, ça supposera que chacun d'entre nous accepte qu'il y ait moins de services, moins de personnel, moins d'État sur son territoire. Parce que la réforme de l'État général qui satisfait tout le monde mais qui ne se traduit par aucune suppression d'aucun établissement sur le territoire, ça n'existe pas."
La seule chose que l'on puisse regretter, c'est que Nicolas Sarkozy n'ait pas eu la même franchise durant la campagne présidentielle. Tandis que Jean-Louis Borloo, à l'inverse, s'était fait taper sur les doigts pour avoir osé rappeler un engagement du nouveau président pendant la campagne des élections législatives. En politique, la franchise ne paie pas toujours...
10:35 | Lien permanent | Commentaires (1) | Facebook | | Imprimer | |