Les forces en présence aux élections régionales (16 février 2010)
(21 régions, hors DROM et Corse)
1) Gauche et extrême gauche
- LO : 21 régions
- NPA : 14 régions
- NPA + Les Alternatifs (ALT) : 2 régions (Poitou-Charantes, PACA)
- NPA + Front de Gauche (FDG) + Les Alternatifs (ALT) : 3 régions (Languedoc-Roussillon, Limousin, Pays-de-la-Loire)
- NPA + Parti de Gauche (PG) + Les Alternatifs (ALT) : Champagne-Ardenne
- NPA + Parti de Gauche (PG) : 2 régions (Bourgogne, Basse-Normandie)
- Front de Gauche (FDG) + Les Alternatifs (ALT) : 6 régions (Alsace, Centre, Franche-Comté, Île-de-France, Nord-Pas-de-Calais, Rhône-Alpes)
- Front de Gauche (FDG) : 7 régions (Aquitaine, Auvergne, Midi-Pyrénées, Haute-Normandie, Poitou-Charentes, Picardie, PACA)
- Parti de Gauche (PG) + Les Alternatifs (ALT) : Bretagne
- Gauche Alternative + Parti de Gauche (PG) : liste "Front Lorrain de Gauche"
- PS et alliés + PCF : 5 régions (Bourgogne, Bretagne, Champagne-Ardenne, Lorraine, Basse-Normandie)
- PS et alliés : 16 régions
- Europe - Écologie : 18 régions
- Europe - Écologie + Mouvement Écologiste Indépendante (MEI) : 3 régions (Alsace, Midi-Pyrénées, Nord-Pas-de-Calais)
- divers gauche : Georges Frêche (ex-PS, Languedoc-Roussillon), Joël Mekhantar (ex-MRC, Bourgogne), Maxime Gremetz (ex-PCF, Picardie)
- divers écologistes de gauche : Manuel Santiago (liste "Écologie sociale, solidaire et décroissante", Alsace), Claude Buchot (liste "'Écologie solidaire en Franche-Comté")
2) Ni droite ni gauche
- MoDem : 14 listes
- MoDem + Alliance Écologiste Indépendante (AEI) : 6 régions (Auvergne, Franche-Comté, Basse-Normandie, Pays-de-la-Loire, Picardie, Poitou-Charentes)
- Alliance Écologiste Indépendante (AEI) : 7 régions (Aquitaine, Bourgogne, Champagne-Ardennne, Limousin, Lorraine, Languedoc-Roussillon, PACA)
- Alliance Écologiste Indépendante (AEI) + Parti Fédéraliste (PF) : 2 régions (Île-de-France, Haute-Normandie)
- Alliance Écologiste Indépendante (AEI) + Parti Breton (PB) : Bretagne
- Debout la République (DLR) : 3 régions (Île-de-France, Lorraine, Haute-Normandie
3) Droite
- UMP et alliés : 21 régions
- Debout la République (DLR) + CNI : 2 régions (Île-de-France, Haute-Normandie)
- divers droite + Debout la République (DLR) + Alliance Centriste (AC) + CNI : Lorraine
- divers droite : Patrick Striby (ex-UDF, Alsace), Christian Jeanjean (ex-UMP, Languedoc-Roussillon), François Dubout (ex-FN ex-CNI, Nord-Pas-de-Calais), Michel Dulac (liste "Spartacus", Rhône-Alpes), Victor Villa (liste "La Voix Lorraine")
4) Extrême droite
- FN : 21 régions
- Maison de la Vie et des Libertés (MVL) : 1 région (Languedoc-Roussillon)
- Parti de la France (PDF) + Mouvement National Républicain (MNR) + Nouvelle Droite Populaire (NDP) : 6 régions (Centre, Franche-Comté, Lorraine, Basse-Normandie, Haute-Normandie, Picardie)
- Bloc Identitaire + Parti de la France (PDF) + Mouvement National Républicain (MNR) : PACA ("Ligue du Sud")
- Bloc Identitaire : 2 régions (Alsace : "Alsace d'abord", Languedoc-Roussillon : "Ligue du Midi")
5) Autres
- régionalistes : Parti Breton (PB) (liste "Nous te ferons Bretagne" : Bretagne, Pays-de-la-Loire), Euzko Alderdi Jeltzalea - Parti Nationaliste Basque (EAJ-PNB) (liste "Euskadi Europan" : Aquitaine), coalition Euskal Herri Bai (Aquitaine)
- défense des agriculteurs : Bretagne (liste "Terres de Bretagne" : Charles Laot), Nord-Pas-de-Calais (liste "Jeunes agriculteurs" : Mickaël Poillion)
- Solidarité & Progrès (liste "Bretagne, phare du nouveau monde" : Alexandre Noury) : Bretagne
- Solidarité ("liste chrétienne" : Axel de Boer) : Île-de-France
- Union pour la Nouvelle France (Thierry Sinda) : Île-de-France
- liste "Émergence" (Almamy Kanoute) : Île-de-France
- liste "Lorraine Générations solidaires" (Patrice Lefeuvre)
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Commentaires
Merci pour ce récapitulatif ! cela permet d'y voir plus clair !
Écrit par : l'hérétique | 16 février 2010
Merci pour la liste, par contre je ne comprends pas le classement de DLR en ni-droite ni-gauche?
Et ne pourrait on pas considérer AEI comme de droite (ils le revendiquent en parti)?
Une petite analyse rapide des complexités des listes:
Une vision nationale du scrutin ne serait elle pas au final réductrice et démontre un problème dans l'approche d'union de liste nationale?
Écrit par : TomasD | 16 février 2010
@L'hérétique : j'ai bien failli ne pas mettre en ligne ces calculs à cause de Wikipédia (d'ailleurs, les pages sur les régionales pour mon site dorment encore bien au chaud dans mon ordinateur car j'en ai marre de me faire piller par ce site de m...).
Écrit par : Laurent de Boissieu | 16 février 2010
@TomasD : pour DLR, cela se discute en effet (d'autant plus que leur alliance incompréhensible avec le CNI les ramène effectivement à droite); pour l'AEI, non, en revanche, on ne peut pas les classer à droite.
Il conviendra en effet d'agréger les résultats pour une approche nationale. La difficulté étant de placer la frontière entre la gauche et l'extrême gauche, vu le continuum du PS au NPA.
Écrit par : Laurent de Boissieu | 16 février 2010
Merci M. de Boissieu pour ce résumé !
Une fois de plus, les combinaisons sont plus nombreuses à gauche qu'à droite... je dirais même qu'on arrive là à la caricature ! Je vous parie un pot que la plupart de vos collègues ne distingueront pas les unes des autres les listes dans lesquelles participent le Front de Gauche et/ou le Parti de Gauche ! Hop-là, toutes dans le même panier : 21 listes FdG, dont 8 communes avec le NPA ! ;p
Sinon, je suis assez surpris que les identitaires (s'agit-il du mouvement Bloc Identitaire ou bien d'aréopages de mouvements divers, ou bien d'autre chose ?) aient réussi à lancer 3 listes. Il me semble que c'est la première fois que cette "mouvance" parvient à avoir des listes dans un scrutin d'envergure nationale, non ?
Je suis tout aussi surpris que le Parti AntiSioniste n'ai réussi à en avoir une seule (ou alors j'ai mal lu votre note). Il me semble qu'en Île-de-France Dieudonné en avait réunit une. Aucune information à ce sujet sur le site du parti ni sur le site de la liste antisioniste des européennes dernières. De toutes façons, cette fois-ci, je n'aurais pas voté pour eux, mais je pensais qu'ils seraient présents.
En tous cas, il me semble que ce scrutin sera le dernier dans lequel le MoDem sera dans une rubrique "ni-ni". Soit le miracle électoral se réalise et le Centre (avec la majuscule, excusez du peu !) renaît de ses cendres, soit il ne se réalise pas et alors il semble probable que le MoDem s'arrimera à la droite du PS, c'est-à-dire à gauche (géographiquement, pas idéologiquement, bien entendu). Et quand bien même il choisirait des alliances "à la carte" au second tour qu'il serait à nouveau au centre (mais avec une minuscule, cette fois-ci, parce que je suis mesquin).
Enfin, pour DLR, j'avoue avoir du mal à le voir dans une catégorie "ni droite ni gauche". Si idéologiquement parlant il est en effet dans un "ailleurs" stato-souverainiste (je vous pique votre terminologie), stratégiquement parlant, il me semble à droite, comme en atteste d'ailleurs le rapprochement avec le CNI que vous m'avez signalé.
Écrit par : Brath-z | 16 février 2010
J'ai écrit "mouvance identitaire" car les choses sont complexes.
Stricto sensu, le Bloc Identitaire :
- a monté la liste Ligue du Midi en Languedoc-Roussillon (Richard Roudier);
- participe à la liste Ligue du Sud en PACA (Jacques Bompard), pour laquelle ils ont eu carte blanche - si je puis dire ! - dans les Alpes-Maritimes;
- est associé à la liste d'Alsace d'Abord (9,42% en 2004), parti créé avant le Bloc Identitaire mais à la direction duquel siège Jacques Cordonnier.
Les listes PDF/MNR/NDP/MVL revendiquent parfois l'appartenance "identitaire" (notamment en Franche-Comté la liste "Ligue comtoise, non aux minarets") mais le Bloc Identitaire dénonce l'utilisation de ce terme par l'extrême droite "jacobine".
Écrit par : Laurent de Boissieu | 16 février 2010
Ah oui, effectivement, c'est compliqué... Et je constate que le Bloc Identitaire continue d'adopter officiellement la ligne "Régionalistes de toute la France, unissez-vous !" face aux "jacobins". Quelque part, et malgré ma tendance farouchement nationaliste et centralisatrice, je préfère ça aux discours que j'ai pu entendre de leur part dans ma campagne (ça se rapprochait drôlement du discours "white power", l'aspect "hell's angels" en moins).
Mais c'est vrai que c'est perturbant, le nombre de sens que l'on peut donner au mot "identitaire" : nationaliste, régionaliste, suprémaciste, occidentiste, etc.
"Je suis un identitaire français", Alain Soral dans une vidéo quelconque.
Écrit par : Brath-z | 16 février 2010
Ah, oui, aussi : c'est tout de même étrange l'empressement que mettent les "mouvances identitaires" à donner des arguments à leurs détracteurs qui les accusent de fascisme : à part Alsace d'Abord (qui ne compte pas, puisque le parti date d'avant le Bloc Identitaire), on a que des "ligues" !
Écrit par : Brath-z | 16 février 2010
Merci pour ce travail de compilation.
A noter que sera présente en Rhône-Alpes la liste "Spartacus" qui s'affiche comme apolitique et citoyenne.
http://raregionales.espaceblogs.fr/category/les-partis/spartacus/
Écrit par : Thierry P. | 16 février 2010
Merci ttout de me de ne pas afublé le Mouvement Démocrate de "ni-ni", ce qu'il a toujours refusé.
Écrit par : Cf | 16 février 2010
@Brath-z. Sur l'identité, tout dépend de la communauté à laquelle on s'identifie : la région (c'est-à-dire pour les Identitaires le peuple-ethnie), la nation, la race.
Sur le mot "ligue", il est abusivement assimilé à l'extrême droite (Ligue des Droits de l'Homme, Ligue de l'Enseignement, Ligue de la Jeune République, Ligue Communiste Révolutionnaire, etc.)
Écrit par : Laurent de Boissieu | 16 février 2010
@Cf : le centre c'est par définition ni la droite ni la gauche... sinon ce n'est plus le centre !
Écrit par : Laurent de Boissieu | 16 février 2010
@Thierry P. : je crois que cette liste (comme d'autres annoncées) n'a finalement pas été déposée/validée.
Écrit par : Laurent de Boissieu | 16 février 2010
Bonjour,
juste une petite précision, le Parti Breton et le Parti nationaliste basque (EAJ-PNV) ne sont pas des partis régionalistes mais nationalistes. Ils se revendiquent ouvertement comme tels. La différence étant que pour eux la Bretagne ou le Pays Basque ne sont pas des régions françaises mais des nations. D'où le terme "nationaliste", qu'il ne faut pas associer au nationalisme du FN par exemple.
Écrit par : Sandrig | 16 février 2010
@Sandrig. Vous avez raison ...sauf qu'actuellement le Pays Basque (qu'es aquò ?), la Bretagne ou la Corse sont bel et bien des régions françaises. C'est pourquoi je n'utilise jamais le terme "nationaliste" pour qualifier les mouvements régionalistes, au sein desquels il convient d'ailleurs de distinguer, d'une part les indépendantistes/séparatistes, d'autre part les autonomistes/fédéralistes.
Écrit par : Laurent de Boissieu | 16 février 2010
@TomasD et Brath-z : j'ai partiellement changé la catégorie pour DLR - par ailleurs, je détaillerai les listes "UMP et alliés" et "PS et alliés" dès que possible...
Écrit par : Laurent de Boissieu | 17 février 2010
Juste une petite précision: DLR présente bien des listes en Lorraine et Haute Normandie mais aussi en Ile de France.
Écrit par : Anne | 17 février 2010
@Anne : effectivement, mais j'ai déplacé celle en ÎDF vers la droite en raison de l'alliance avec le CNI.
Écrit par : Laurent de Boissieu | 17 février 2010
Concernant François Dubout, il n'est pas ex-CNI puisque président de la fédé du Nord Pas de Calais et membre du comité directeur de ce parti.
Écrit par : Jérôme | 17 février 2010
@Jérôme : effectivement ! mais le CNI dans son communiqué de presse sur les régionales ne revendique pas sa candidature :
"Le CNI participera aux élections régionales des 14 et 21 mars 2010
Le Centre National des Indépendants et paysans participera aux élections régionales des 14 et 21 mars prochains, notamment en Ile de France où une alliance a été conclue avec « Debout la République », formation présidée par Nicolas Dupont-Aignan mais également dans la région Languedoc-Roussillon où Christian Jeanjean, ancien député, sera tête de liste, apparenté CNI.
Grâce à cet engagement, notre formation politique continuera à défendre ainsi les valeurs et convictions auxquelles le CNI est attaché.
L'addition de nos talents, dans le respect de nos identités et de nos convictions, doit constituer une force pour remettre nos Régions en mouvement.
Le Président du CNI, Gilles Bourdouleix, a souhaité rappeler que « la droite n'a pas à rougir de ses valeurs, de ses convictions. Qu'elle peut être fière de son histoire et que c'est à droite que se gagneront les prochaines élections »."
Écrit par : Laurent de Boissieu | 17 février 2010
D'accord avec vous, mais c'est le ex-CNI peut faire croire qu'il n'est plus adhérent de ce parti. Pourquoi pas "membre du CNI" ?
Écrit par : Jérôme | 17 février 2010
Je ne mentionne un parti que si ledit parti soutient officiellement une liste (il y a par exemple en Languedoc-Roussillon des membres du Parti de la France sur la liste de Jean-Claude Martinez); cela dit, il est vrai que le "ex" prête à confusion, mais j'attends un nouveau contact demain avec le CNI pour éventuellement corriger ma note.
Écrit par : Laurent de Boissieu | 17 février 2010
Bonsoir,
Merci pour cette présentation croisée des listes en présence.
Une remarque concernant le commentaire de Sandrig, au sujet des partis "régionalistes". Même s'ils se définissent comme "nationalistes", cela n'a évidemment rien à voir avec le cauchemar "nazionaliste" de l'extrême droite. Le Parti Breton et le PNV sont des mouvements démocrates, pacifiques, modernes et européens. Ils se présentent d'ailleurs comme "centristes".
Croyez-vous qu'il soit facile pour ces deux mouvements de "monter" des listes régionales en Bretagne, Pays de La Loire et surtout en Aquitaine, compte tenu du mode de scrutin invraisemblable (pour ne pas dire "débile" et incompréhensible) ?
Le "petit" PNV ( "petit", côté français tout au moins) a réussi à "monter" une liste Euskadi Europan (le Pays Basque en Europe) de 95 candidat(e)s, dont plusieurs maires et de nombreux conseillers municipaux.
Je comprends que ces "phénomènes périphériques" - comme on dit à Paris - dès lors qu'ils sont pacifiques, n'intéressent guère les médias nationaux, mais leur discours est loin d'être "anti-français"'. Au contraire, ils devraient être écoutés ailleurs en France, car ils ont beaucoup à apporter pour la rénovation de la République.
Donc, allez-y pour "régionalistes", c'est d'ailleurs l'étiquette qui leur est collée pudiquement en préfecture.
Voilà pour une petite mise au point amicale, et qui permet d'apporter une lumière méconnue dans les milieux parisiens...
Bonne continuation !
A galon / Agur beroenak
Écrit par : Jeltzale | 17 février 2010
Jeltzale > L'extrême-droite nationaliste n'est pas nécessairement anti-démocrate, belliciste, ancienne et anti-européenne. Comme toutes les catégories de l'éventail politique, elle est constituée de blocs et mouvances multiples et distincts. En France, il ne me semble pas que l'extrême-droite (sauf pour certains mouvements illégaux comme les FAF ou encore les Franquistes) soit "nazionaliste" (c'est-à-dire nationaliste à sympathie NSDAP, si j'ai bien compris). La part la plus importante électoralement parlant (FN, MNR, MVL, PDF) est nationaliste, souvent conservatrice (pour les "vieilles valeurs"), mais certainement pas national-socialiste.
Écrit par : Brath-z | 18 février 2010
@Jeltzale : pour compléter, la Fédération Régions et Peuples Solidaires est partie prenant des listes Europe écologie dans neuf régions recouvrant six entités historiques : Alsace, Bretagne, Savoie, Occitanie, Catalogne, Pays basque.
Écrit par : Laurent de Boissieu | 18 février 2010
@TomasD et Brath-z : j'ai finalement changé DLR de catégorie..
@Jérôme : le comité directeur du CNI doit décider samedi de son soutien ou non à la liste conduite par François Dubout.
Écrit par : Laurent de Boissieu | 18 février 2010
Ah, le CNI est donc intégré dans toutes les listes de DLR ?
Je me répète, mais pour moi, c'est un jeu dangereux en matière d'orientation idéologique.
Écrit par : Brath-z | 18 février 2010
effectivement...
Écrit par : Laurent de Boissieu | 18 février 2010
@ Laurent
Merci pour la précision.
Dans un autre registre, voici une proposition.
http://lescriptorium.wordpress.com/2010/02/20/poussieres-de-blogs/
Écrit par : Thierry P. | 20 février 2010
@Thierry P. : contrairement à ce qu'indiquait l'AFP dans une première dépêche, la liste Spartacus a été validée ! De même que deux autres listes en Lorraine
http://www.france-politique.fr/elections-rhone-alpes.htm#2010
(je regarde votre proposition dès que j'en ai le temps...)
Écrit par : Laurent de Boissieu | 20 février 2010
Bravo Mr De Boissieu pour votre travail de romain. Ce document nous est très utile et je confirme bien que l'AEI n'est ni à droite ni à gauche . Nous regroupons sur nos listes de nombreux élu(e)s issus des Verts et comme vous le mentionnez sommes alliés avec Europe Ecologie dans 3 régions et dans 6 autres avec le Modem qui aujourd'hui est plutôt à gauche qu'à droite refusant toute alliance avec l'UMP au second tour des régionales. Dans les 11 régions ( y compris Corse) où nous partons seuls nos accords de second tour se feront "à la carte" en fonction des contenus et des rapports de force.
Cordialement Patrice Miran, porte parole de l'AEI
Écrit par : Patrice Miran | 22 février 2010
Bonjour,
Vous pouvez aussi retrouver les listes région par région sur mon site :
http://www.france-politique.fr/elections-regionales-2010.htm
(je travaille encore sur ces pages)
Cordialement.
Écrit par : Laurent de Boissieu | 22 février 2010
Voici le lien vers le site de la liste "Avec la Gauche rassemblée pour la Picardie", il ne figure pas dans l'article je pense
www.gewerc-2010.fr
Écrit par : Delavelle | 22 février 2010
Delavelle > L'article ne comporte de lien que vers les pages que M. de Boissieu a consacré aux mouvements considérés sur ses sites (france-politique.fr et wikipolitique.fr).
Écrit par : Brath-z | 23 février 2010
(formidable d'avoir un lecteur qui formule les bonnes réponses à ma place ! - merci Brath-z !)
Écrit par : Laurent de Boissieu | 23 février 2010
Bonjour,
La liste lancée par le mouvement "Jeunes Agriculteurs" (mouvement apolitique regroupant 50 000 adhérent en France; et dont le siège et le budget sont totalement indépendant des autres syndicats est en effet une première dans notre pays.
Mais contrairement au classement "Défense des agriculteurs" que vous lui avez réservé, cette liste se veut l'inverse d'une liste corporatiste.
Pourquoi me dirais-vous ?
Car l'alimentation, la gestion économe et partagée des territoires régionaux, et leurs propositions très concrètes pour protéger et crer des emplois peu délocalisable (car directement liés aux territoires dans l'agric, l'artisannat, le tourisme vert ou l'agro-alimentaire) ; tout ces thèmes n'ont qu'un seul but,et c'est peut être l'originalité de cette liste "jeune" : être utile et efficace pour tout les habitants de leur région.
Comme vous le savez, l'Alimentation et la gestion partagée du territoire ne sont ni de gauche, ni de droite, et encore moins corporatiste...
Bien à vous,
Ghislain Mascaux
Écrit par : Mascaux | 24 février 2010