11 octobre 2011
Nicolas Sarkozy, "pris en otage" par l'UMP?
Au petit déjeuner de la majorité, ce mardi, Nicolas Sarkozy a expliqué que la Ve République gaulliste, c'est "une élection à deux tours, pas à quatre tours". Comprenez: les deux tours de la primaire puis les deux tours de la présidentielle. Pire, selon le président de la République: le candidat à la présidentielle désigné par une primaire se trouverait "pris en otage par son parti".
Question: qui est davantage "pris en otage par son parti"?
- un candidat, comme ce sera le cas de celui du PS et du PRG, désigné par une primaire ouverte à tous les citoyens?
- un candidat, comme prévu par les statuts de l'UMP, désigné par une primaire fermée, c'est-à-dire réservée aux seuls adhérents d'un parti politique?
C'est çui qui'l'dit qui y est?
16:17 | Lien permanent | Commentaires (5) | Facebook | | Imprimer | |
11 mars 2011
Question primaire
De plus en plus de voix s'élèvent au PS afin d'exhorter la direction du parti à renoncer à l'organisation de la primaire, ouverte à tous les sympathisants de gauche (notion dont, au passage, j'attends toujours la définition), qui doit désigner le candidat à l'élection présidentielle de 2012.
Mais encore?
Pour faire avancer le schmilblick, il serait en effet honnête de la part de tous ceux qui formulent cette demande d'expliquer quelle solution alternative ils proposent pour désigner le candidat du PS à la présidentielle.
Une primaire interne au parti?
Les sondages?
Mme Irma?
22:13 | Lien permanent | Commentaires (2) | Facebook | | Imprimer | |