30 mai 2012
Historique des élections législatives depuis 1988
Étiquette politique des députés dans toutes les circonscriptions par département depuis les élections législatives de 1988 + en attendant, pour 2012, le candidat arrivé en tête au second tour de l'élection présidentielle (nouveau découpage électoral) - 621 cartes au total
Ain (01)Aisne (02)
Allier (03)
Alpes-de-Haute-Provence (04)
Hautes-Alpes (05)
Alpes-Maritimes (06)
Ardèche (07)
Ardennes (08)
Ariège (09)
Aube (10)
Aude (11)
Aveyron (12)
Bouches-du-Rhône (13)
Calvados (14)
Cantal (15)
Charente (16)
Charente-Maritime (17)
Cher (18)
Corrèze (19)
Corse-du-Sud (2A)
Haute-Corse (2B)
Côte d'Or (21)
Côtes d'Armor (22)
Creuse (23)
Dordogne (24)
Doubs (25)
Drôme (26)
Eure (27)
Eure-et-Loir (28)
Finistère (29)
Gard (30)
Haute-Garonne (31)
Gers (32)
Gironde (33)
Hérault (34)
Ille-et-Vilaine (35)
Indre (36)
Indre-et-Loire (37)
Isère (38)
Jura (39)
Landes (40)
Loir-et-Cher (41)
Loire (42)
Haute-Loire (43)
Loire-Atlantique (44)
Loiret (45)
Lot (46)
Lot-et-Garonne (47)
Lozère (48)
Maine-et-Loire (49)
Manche (50)
Marne (51)
Haute-Marne (52)
Mayenne (53)
Meurthe-et-Moselle (54)
Meuse (55)
Morbihan (56)
Moselle (57)
Nièvre (58)
Nord (59)
Oise (60)
Orne (61)
Pas-de-Calais (62)
Puy-de-Dôme (63)
Pyrénées-Atlantiques (64)
Hautes-Pyrénées (65)
Pyrénées-Orientales (66)
Bas-Rhin (67)
Haut-Rhin (68)
Rhône (69)
Haute-Saône (70)
Saône-et-Loire (71)
Sarthe (72)
Savoie (73)
Haute-Savoie (74)
Paris (75)
Seine-Maritime (76)
Seine-et-Marne (77)
Yvelines (78)
Deux-Sèvres (79)
Somme (80)
Tarn (81)
Tarn-et-Garonne (82)
Var (83)
Vaucluse (84)
Vendée (85)
Vienne (86)
Haute-Vienne (87)
Vosges (88)
Yonne (89)
Territoire de Belfort (90)
Essonne (91)
Hauts-de-Seine (92)
Seine-Saint-Denis (93)
Val-de-Marne (94)
Val-d'Oise (95)
Guadeloupe (971)
Martinique (972)
Guyane (973)
La Réunion (974)
Mayotte (976)
Saint-Pierre-et-Miquelon (975)
Wallis-et-Futuna (986)
Polynésie française (987)
Nouvelle-Calédonie (988)
Saint-Barthélemy (977)
Saint-Martin (978)
Français de l'étranger
(il existe quelques bugs issus du logiciel que j'utilise: par exemple la 1re circonscription de La Réunion se retrouve en Guyane, un bout de la 1re circonscription de Dordogne se retrouve sur la carte de la Corrèze...)
11:04 | Lien permanent | Commentaires (4) | Facebook | | Imprimer | |
29 mai 2012
Députés des Français établis hors de France ou députés de la Nation?
Le Parlement français comprend deux assemblées: l'Assemblée nationale et le Sénat.
Même s'ils sont élus dans une circonscription législative, les députés ne représentent pas leur circonscription ou leur département mais la nation toute entière.
Énoncé dès la Constitution de 1791, ce principe explique pourquoi il avait été décidé, en 1871, après l'annexion de l'Alsace et de la Moselle par la Prusse, que les députés de ces départements demeureraient en fonction (ils démissionnèrent finalement de leur propre initiative).
Les sénateurs, en revanche, ne représentent pas la nation entière mais représentent les collectivités territoriales de la République.
La Constitution de 1958 précise en outre que "les Français établis hors de France sont représentés au Sénat", l'étranger ne constituant pas une collectivité territoriale.
Article 24
Le Parlement comprend l'Assemblée Nationale et le Sénat.
Les députés à l'Assemblée Nationale sont élus au suffrage direct.
Le Sénat est élu au suffrage indirect. Il assure la représentation des collectivités territoriales de la République. Les Français établis hors de France sont représentés au Sénat.
Or, la révision constitutionnelle de 2008 a créé une catégorie particulière de députés (élus pour la première fois cette année) qui, eux, ne représentent pas le peuple entier mais une section du peuple, les Français établis hors de France.
Article 24
Le Parlement (...) comprend l'Assemblée nationale et le Sénat.
Les députés à l'Assemblée nationale, dont le nombre ne peut excéder cinq cent soixante-dix-sept, sont élus au suffrage direct.
Le Sénat, dont le nombre de membres ne peut excéder trois cent quarante-huit, est élu au suffrage indirect. Il assure la représentation des collectivités territoriales de la République.
Les Français établis hors de France sont représentés à l'Assemblée nationale et au Sénat.
Si je comprends bien la volonté, dans la rédaction, d'opérer un parallèle entre sénateurs et députés, je ne m'explique pas depuis 2008 pourquoi le Conseil constitutionnel n'a pas censuré cette remise en cause d'un principe constitutionnel fondateur.
22:08 | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook | | Imprimer | |
28 mai 2012
Soutien (ponctuel) à Éric Zemmour
[Rectificatif: ce n'est pas au titre des lois antiracistes qu'Éric Zemmour a été mis en cause par Patrick Lozès mais au titre de la diffamation. Le président du CRAN nie en effet avoir tenu les propos qui lui sont attribués. Sur le fond, cela ne change toutefois rien au caractère antirépublicain de toute association de nature racialiste - noire, blanche, jaune, rouge ou verte]
Autant Éric Zemmour devait selon moi bien être condamné pour d'autres propos (ici), autant là il a entièrement raison:
«Ainsi, Patrick Lozès, président du CRAN (Conseil Représentatif des Associations Noires de France) a déclaré: "Obama est notre président", ce qui prouve que la solidarité raciale, pardon espéciale est supérieure, à ses yeux énamourés, à la solidarité nationale. Imaginons un odieux président du CRAB (Conseil Représentatif des Associations Blanches) qui déclarerait: "Poutine est notre président"».
(jugement mardi 29 mai à la 17ème chambre correctionnelle du TGI de Paris)
Qu'une association racialiste comme le CRAN puisse avoir pignon sur rue en République m'étonne. Et qu'on ne me serve pas je ne sais quelle masturbation intellectuelle à la Aimé Césaire pour expliquer que l'identité blanche et la blanchitude c'est racialiste (voire raciste), mais que l'identité noire et la négritude ce n'est, bien entendu, pas racialiste (et encore moins raciste).
Nous ne sommes pas aux États-Unis d'Amérique. Cette racialisation de la société française me débecte.
17:44 | Lien permanent | Commentaires (7) | Facebook | | Imprimer | |
24 mai 2012
L'UDF bouge encore!
Comme j'ai déjà eu l'occasion de le souligner sur ce blog, la personne morale UDF possède l'usage de la marque UDF, même si elle n'en est pas le propriétaire.
...encore faut-il qu'il en soit toujours fait usage!
Aux élections régionales de 2010, deux professions de foi du MoDem avaient ainsi repris le logo de l'UDF: celle de Yann Wehrling et Odile Uhlrich-Mallet en Alsace et celle de Danielle Jeanne et Richard Lecoeur en Haute-Normandie.
Pour les élections législatives de 2012, comme me l'a signalé son directeur de campagne Martin Leveneur, c'est cette fois au moins le cas de la candidate Alexandra Leuliette dans la 3e circonscription de la Mayenne.
10:12 | Lien permanent | Commentaires (16) | Facebook | | Imprimer | |
23 mai 2012
Le FN, de la présidentielle aux législatives
Nouveauté sur France-politique.fr:
Le FN de la présidentielle aux législatives,
radioscopie de 15 circonscriptions et cartes régionales des circonscriptions
http://www.france-politique.fr/elections-legislatives-201...
22:50 | Lien permanent | Commentaires (1) | Facebook | | Imprimer | |
22 mai 2012
Aux élections, il y a radicaux et radicaux
Les étiquettes aux élections législatives constituent tous les cinq ans un véritable casse-tête.
Il convient en effet de distinguer:
- le parti d'appartenance (donnée privée non publique)
- l'étiquette déclarée en préfecture (donnée publique)
- l'association de financement de rattachement (donnée non publique - ce qui constitue un véritable scandale démocratique)
- l'investiture d'un parti politique (donnée publique)
- les soutiens d'autres partis politiques (données publiques)
- les logos qui figurent ou non sur les documents de propagande électorale
- l'éventuel groupe parlementaire d'appartenance (donnée publique)
Le Parti Radical de droite (dit Parti Radical "valoisien") constitue à cet égard un bel exemple.
Juridiquement, la double appartenance entre le Parti Radical et l'UMP est interdite depuis le 1er janvier 2012, le Parti Radical ayant dénoncé au cours de l'année dernière la convention d'association qui le liait depuis 2002 avec l'UMP. Ce qui n'empêche pas ledit parti de continuer à revendiquer 20 députés, dont certains ont pourtant fait le choix de rester à l'UMP derrière Jean Leonetti.
Seule indication sur le nombre de parlementaires radicaux ayant politiquement quitté l'UMP: les 13 députés et les 6 sénateurs qui, pour le rattachement financier annuel, ont quitté l'UMP (décret du 7 février 2012). Malheureusement pour leurs électeurs et pour la transparence démocratique, ce rattachement n'étant pas publique nul ne connaît officiellement le nom des intéressés.
Cette opacité se poursuit pour les élections législatives. Le Parti Radical a envoyé ce jour une liste de 89 "candidats du Parti radical". Tandis que le ministère de l'intérieur en recense 99.
En voici une petite présentation inédite:
1. Étiquette en préfecture des candidats revendiqués par le Parti radical:
Parti radical (PRV) |
78 |
Union pour un Mouvement Populaire (UMP) |
8 |
Divers droite (DVD) |
2 |
Le Centre pour la France (CEN) |
1 |
total |
89 |
Par conséquent, 21 candidats étiquetés PRV par le ministère de l'intérieur ne sont pas revendiqués par la Place de Valois.
2. Étiquette en préfecture des députés sortants revendiqués par le Parti radical:
Parti radical (PRV) |
10 |
Union pour un Mouvement Populaire (UMP) |
6 |
sous-total |
16 |
ne se représentent pas |
4 |
total |
20 |
Bref, il y a radicaux et radicaux...
19:21 | Lien permanent | Commentaires (6) | Facebook | | Imprimer | |
20 mai 2012
Le paysage des élections législatives se dessine
Je vous invite à lire mon article publié dans http://www.la-croix.com:
http://www.la-croix.com/Actualite/S-informer/France/Les-e...
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11 mai 2012
Élections législatives: au moins 44 partis visent le financement public
[Avertissement: cette note a été mise à jour ici]
Les candidatures aux élections législatives doivent être déposées entre le lundi 14 mai et le vendredi 18 mai à 18h.
La première fraction de l'aide publique aux partis politiques est définie par les résultats obtenus au premier tour des élections législatives. Les candidats doivent remplir une déclaration de rattachement (mais ils peuvent bien entendu aussi ne pas vouloir se rattacher à un parti ou groupement politique).
Cette déclaration est libre (tout parti peut être désigné dans la case "autre"), mais les partis ou groupements politiques avaient la possibilité de demander au ministère de l'intérieur de figurer sur une liste indicative.
Cette liste fournit donc un état des lieux des principales forces ambitionnant de remplir les conditions d'accès au financement public (en métropole, 50 candidats doivent obtenir au moins 1% des suffrages exprimés). Pour mémoire, vous trouverez ici la liste des partis en ayant bénéficie depuis 1993.
Voici la liste publiée pour le scrutin des 10 et 17 juin:
Extrême gauche
Communistes: Rolande Perlican (ex-PCF)
Lutte Ouvrière (LO): Nathalie Arthaud, Arlette Laguiller
Parti Ouvrier Indépendant (POI): Daniel Gluckstein, Gérard Schivardi
Solidarité, Écologie, Gauche Alternative (SEGA)
Gauche
Europe Écologie - Les Verts (EELV): Cécile Duflot, Eva Joly
Forces de Gauche (FDG): Jean-Luc Mélenchon (Parti de Gauche) - composante du Front de Gauche (FDG)
Mouvement Républicain et Citoyen (MRC): Jean-Pierre Chevènement
Mouvement Unitaire Progressiste (MUP): Robert Hue
Parti Communiste Français (PCF): Pierre Laurent, Marie-George Buffet - composante du Front de Gauche (FDG)
Parti Socialiste (PS): Martine Aubry
Pour la Réunion, de toutes nos forces (PLR): Huguette Bello (ex-PCR)
Centre
Citoyenneté Action Participation pour le XXIe siècle (CAP21): Corinne Lepage (ex-MoDem)
Droite Sociale (DS): Nassimah Dindar (La Réunion)
Mouvement Démocrate (MoDem) et Le Centre pour la France: François Bayrou
Mouvement Écologiste Indépendant (MEI): Antoine Waechter
Mouvement du Centre Gauche (MOCG): Hamdy Boussouiba (soutien de François Bayrou à la présidentielle)
Droite
Alliance Centriste (AC): Jean Arthuis (ex-UDF, ex-MoDem)
Centre National des Indépendants et Paysans (CNIP) et Les Indépendants de la France de Métropole et d’Outre-mer (IFMOM): Gilles Bourdouleix (ex-UMP)
Debout la République (DLR): Nicolas Dupont-Aignan (ex-UMP)
Nouveau Centre (NC): Hervé Morin (ex-UDF)
Parti Chrétien-démocrate (PCD): Christine Boutin (ex-UDF, ex-UMP)
Parti Libéral Démocrate (PLD): Aurélien Véron
Le Trèfle - Les Nouveaux Écologistes - Homme Nature Animaux (LT-NEHNA): Albert Lapeyre
Union pour la France (UPF), ex-Alliance Générations France: même adresse que le Mouvement pour la France (MPF)
Union pour un Mouvement Populaire (UMP) et Le Rassemblement en Nouvelle-Calédonie: Jean-François Copé
L'Union des Radicaux, Centristes, Indépendants et Démocrates (L'URCID) et Centre Humaniste Européen (CHE) Jean-Louis Borloo (Parti Radical) et des dissidents du Nouveau Centre (Jean-Christophe Lagarde, François Sauvadet)
Union Républicaine Populaire (URP): Christian Jeanjean (ex-UMP)
Extrême droite
L'Alliance Royale (AR): Pierre Bernard
Front National (FN): Marine Le Pen
Union de la Droite Nationale (UDN): Carl Lang (Parti de la France)
Inclassables / divers / non représentatifs
La France en Action (LFA): Jean-Marc Governatori
Initiative 2012: "rassembler l’ensemble des patriotes attachés à la souveraineté populaire, elle défend la souveraineté de la France, le rayonnement de la langue française et de la Francophonie, développe la participation des citoyens à l’exercice du pouvoir politique, notamment par la mise en oeuvre du référendum d’initiative populaire à tous les niveaux de l’organisation, communes, départements, régions et niveau national".
Mouvement pour l'Eveil National (MEN): Ismaël Boudjekada
Mouvement Unifier de la Jeunesse Active Martiniquaise (MUJAM): "mener des actions exclusivement à but politique et accéder à des fonctions électives, favoriser le renouvellement de la classe politique en privilégiant les jeunes et les femmes, d’agir uniquement dans l’intérêt général de la Martinique, démontrer que la politique peut se faire dans le sens noble de sa définition première, renoncer à soi (chaque membre du mouvement) au profit de la Martinique".
Nouvelle Union Française (NUFR): Adam Ouadah
Solidarité et Progrès (SP): Jacques Cheminade
Union des Républicains de France: Gaëtan Achenza (soutien de Dominique de Villepin)
15:14 | Lien permanent | Commentaires (15) | Facebook | | Imprimer | |
Les Indépendants de la France de Métropole et d’Outre-mer (IFMOM)
Difficile pour les "petites" formations politiques de remplir les critères d'accès au financement public, durcis en 2003 (en métropole, qu'au moins 50 candidats obtiennent plus de 1% des suffrages exprimés). C'est notamment le cas pour le Centre National des Indépendants et Paysans (CNIP), présidé par le député Gilles Bourdouleix, qui n'y a plus droit depuis les élections législatives 2007.
La solution (parfaitement légale), pratiquée depuis longtemps par le sénateur Jean-Louis Masson: être présent outre-mer, où une seule candidature obtenant plus de 1% des suffrages exprimés ouvre l'accès au financement public. En exclusivité sur iPolitique.fr, je vous dévoile que Gilles Bourdouleix y présentera un candidat sous l'étiquette "Les Indépendants de la France de Métropole et d’Outre-mer (IFMOM)". D'après mes informations, l'intéressé devrait concourir à Saint-Pierre-et-Miquelon, d'où est originaire son asssitant parlementaire.
L'association "Les Indépendants de la France de Métropole et d’Outre-mer (IFMOM)" a été déclarée le 6 avril 2012 avec pour objet de "rassembler dans le cadre des institutions républicaines toutes celles et tous ceux qui directement ou indirectement militent pour le renforcement des liens entre la métropole et les territoires d’outre-mer quel que soit leur statut." Son siège social est situé 7, rue Travot à Cholet ... permanence parlementaire de Gilles Bourdouleix.
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[Exclu iPolitique.fr] L'Union des Radicaux, Centristes, Indépendants et Démocrates (L'URCID)
À droite, ce n'est finalement pas l'UMP qui a éclaté, mais le Nouveau Centre: en exclusivité sur iPolitique.fr, je vous révèle l'étiquette législative commune qui devrait réunir au moins le Parti Radical de Jean-Louis Borloo et des dissidents du Nouveau Centre (Jean-Christophe Lagarde, François Sauvadet): L'Union des Radicaux, Centristes, Indépendants et Démocrates (L'URCID).
L'association a été déclarée le 11 avril 2012 en tant que "formation politique qui rassemble les radicaux, centristes, républicains, démocrates, progressistes" avec "pour objet de défendre les valeurs de laïcité, d’épanouissement personnel, d'égalité des chances, de justice sociale, de développement durable".
La marque avait été préalablement déposée le 4 avril 2012 par Laurent Hénart (secrétaire général du Parti Radical, qui a aussi déposé, le 28 mars 2012, l'Union du centre et de la droite et l'Union des radicaux indépendants et centristes).
Ajout: Jean-Christophe Lagarde avait initialement préparé la création de sa propre structure, le Centre Humaniste Européen (CHE), avant de s'entendre avec le Parti radical. La marque avait été déposée le 25 octobre 2011 - de même que Mouvement Humaniste Européen (MHE) - et l'association déclarée le 27 octobre 2011.
12:28 | Lien permanent | Commentaires (6) | Facebook | | Imprimer | |