26 avril 2012
De la préférence nationale à la préférence européenne
"Je suis pour la préférence communautaire, mais je ne vois pas pourquoi on ne pourrait pas être pour la préférence nationale", a déclaré Nicolas Sarkozy, le 24 mars. Cette phrase de Nicolas Sarkozy, à l'attention des électeurs de Marine Le Pen, appelle deux remarques. 1) Une partie de la droite a toujours été pour la préférence nationale Le juge administratif a ainsi censuré les discriminations fondées sur la nationalité introduites par quelques collectivités locales administrées par la droite. C'est ce que rappelle un rapport du Haut Conseil à l'Intégration ("Lutte contre...